Serait-ce une démonstration, chez la souris, de cette observation récurrente effectuée chez l’homme par les psychiatres et psychologues : un stress subi par un individu jeune, même sans conséquences visibles, peut retentir sur la santé psychique de ses petits-enfants voire de ses arrière-petits-enfants – ou l’art de cuire à petit feu un « non-dit » familial ?
Lire l’article de Florence Rosier sur le site du Monde.
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