« J’ai mal au dos », « j’en ai plein le dos », « j’en peux plus, je vais craquer », etc. Avoir « mal » au travail n’est pas nouveau chez les travailleurs de force, les ouvriers et employés effectuant des travaux répétitifs sous contraintes de temps. Ce qui l’est moins, c’est le caractère massif des plaintes et leur impact sur les parcours professionnel des travailleurs peu qualifiés. Surtout, on constate leur diffusion à des catégories jusque-là peu concernées, comme certains cadres (par exemple, les journalistes) et professions libérales (par exemple, les dentistes).
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[Podcast] Antoine Duarte : Résister face aux contraintes du travail
Quelle résistance mettre en place au travail face à une organisation destructrice ? Quels risques...


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