La « faute inexcusable » de l’entreprise Renault dans le suicide en 2006 d’un ingénieur du site de Guyancourt (Yvelines) a été confirmée jeudi 19 mai par la cour d’appel de Versailles. Une décision qui prouve que « Renault avait nécessairement conscience du danger auquel était exposé Antonio B. au regard de sa charge de travail », estime l’avocate de la famille du salarié, Me Rachel Saada.
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Souffrance au travail des magistrats : état des lieux, état d'alerte
Communiqué du 19 février 2015 de l'Union Syndicale des Magistrats (USM). Depuis plusieurs années,...