La « faute inexcusable » de l’entreprise Renault dans le suicide en 2006 d’un ingénieur du site de Guyancourt (Yvelines) a été confirmée jeudi 19 mai par la cour d’appel de Versailles. Une décision qui prouve que « Renault avait nécessairement conscience du danger auquel était exposé Antonio B. au regard de sa charge de travail », estime l’avocate de la famille du salarié, Me Rachel Saada.
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Entre déni des entreprises et manque de données, l’invisibilisation des suicides liés au travail
« Morts au travail : l’hécatombe. » Le manque de prise en compte du mal-être au travail renforce...