« J’ai mal au dos », « j’en ai plein le dos », « j’en peux plus, je vais craquer », etc. Avoir « mal » au travail n’est pas nouveau chez les travailleurs de force, les ouvriers et employés effectuant des travaux répétitifs sous contraintes de temps. Ce qui l’est moins, c’est le caractère massif des plaintes et leur impact sur les parcours professionnel des travailleurs peu qualifiés. Surtout, on constate leur diffusion à des catégories jusque-là peu concernées, comme certains cadres (par exemple, les journalistes) et professions libérales (par exemple, les dentistes).
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