Serait-ce une démonstration, chez la souris, de cette observation récurrente effectuée chez l’homme par les psychiatres et psychologues : un stress subi par un individu jeune, même sans conséquences visibles, peut retentir sur la santé psychique de ses petits-enfants voire de ses arrière-petits-enfants – ou l’art de cuire à petit feu un « non-dit » familial ?
Lire l’article de Florence Rosier sur le site du Monde.
Psychologue du travail à l'épreuve du terrain (suite) (juin 2015)
Dans ce deuxième dossier qui fait suite à celui paru en avril dernier, nous avons à cœur de...