La « faute inexcusable » de l’entreprise Renault dans le suicide en 2006 d’un ingénieur du site de Guyancourt (Yvelines) a été confirmée jeudi 19 mai par la cour d’appel de Versailles. Une décision qui prouve que « Renault avait nécessairement conscience du danger auquel était exposé Antonio B. au regard de sa charge de travail », estime l’avocate de la famille du salarié, Me Rachel Saada.
< Cliquez ici pour voir l'interview de la veuve de l'ingénieur, avec l'amabilité de BFMTV.
La Cour des comptes alerte sur la santé des professeurs : + 43% d’arrêts de travail en 5 ans
Les absences pour raison de santé représentent désormais la principale cause d’absence des...




![[VIDEO] Organisation du travail et démocratie, avec Christophe Dejours](https://www.souffrance-et-travail.com/wp-content/uploads/2023/01/ecouter-regarder-voir-400x250.jpg)

