Dans un arrêt du 8 Novembre, la deuxième chambre civile de la Cour de cassation a confirmé la condamnation pour faute inexcusable d’une société dont la politique de surcharge, de pressions et d’objectifs inatteignables avait conduit un salarié à la crise cardiaque. Voir l’article de Liaisons Sociales Quotidien.
Paul Virilio : la tyrannie de la vitesse
Le sentiment que tout va trop vite dans un monde standardisé ? Bien avant l’avènement du web 2.0,...