« Les nouvelles organisations du travail sont extrêmement sophistiquées et fabriquent comme des orfèvres une machinerie qui vient capturer toute la subjectivité du salarié pour qu’il s’investisse corps et âme dans la nouvelle tâche »
Lire l’interview de Marie Pezé sur le site de Millénaire.
Les nouveaux visages de la souffrance au travail
Depuis le début des années 2000, et contrairement aux deux décennies précédentes, on recommence à...