Cathy de Nitto, 40 ans, peut être soulagée : la cour d’appel de Montpellier vient de condamner la société Les fermettes du midi pour licenciement discriminatoire, à hauteur de 240 000 euros. L’objet du délit ? Un renvoi pour « faute grave » de la jeune femme pendant son congé parental. Le montant des dommages et intérêts est quant à lui « historique et fera sûrement jurisprudence », souligne Slimane Laoufi, chef du pôle emploi-privé du Défenseur des droits, qui précise : « C’est un bon exemple quand on sait que les discriminations sexuelles sont de plus en plus fréquentes. » Et pour cause, continue le juriste : « Les entreprises ont de plus en plus de mal à gérer les grossesses et la parentalité des femmes. »
Voir la suite de l’article sur le site du Monde.
Loire : un psychiatre plaide pour une "médecine préventive des chômeurs"
Michel Debout, professeur de médecine légale et de droit de la santé et chef du service de...